fédéraux ne rigolent pas

Les fédéraux ne plaisantent pas ! Ils s’acharnent sur le métaverse

Le monde entier avance à grands pas vers le métaverse et chaque pays semble prendre des mesures qui leur sont propres. En France, par exemple, la gendarmerie souhaite engager des spécialistes de la blockchain pour mieux protéger les consommateurs. Aux USA, ce sont les fédéraux qui s’activent et vous êtes au bon endroit pour en savoir plus.

Le métaverse : un univers très risqué

Bien que l’on ne cesse de nous promouvoir les intérêts, les bienfaits et les particularités des métaverses, certains incidents arrivent assez souvent, pour alerter les fédéraux. En effet, comme les cybercriminels essaient constamment de renouveler leurs méthodes pour exploiter, voler et arnaquer ceux qui s’aventurent dans le métaverse, les fédéraux pensent qu’il est temps d’agir sérieusement.

Par ailleurs, les malfaisances dans le métaverse ne s’arrêtent pas aux vols financiers. Les malfaiteurs s’attaquent aussi à la violation des vies privées, compte tenu de toutes les données biométriques et personnelles que l’on recense dans le métaverse. En outre, les fédéraux craignent aussi pour la santé mentale des utilisateurs de métaverse puisque selon les autorités, il est facile de manipuler les esprits fragiles.

Vous l’aurez compris, même si le métaverse représente le futur dans bien des domaines, il reste assez risqué et il est assez normal si les fédéraux s’en mêlent !

metaverse

Une réglementation nécessaire, mais compliquée

Le métaverse commence à se démocratiser et il devient compliqué de le gérer puisqu’il n’y a pas de réglementations propres à cet univers-là. Pour être plus clair, la situation en Europe est loin d’être celle que l’on retrouve aux USA et celle de l’Asie est encore différente. Concrètement, il n’existe aucune convention commune, aucune règlementation commune et aucune loi commune liées au métaverse dans le monde, ce qui rend les choses très compliquées.

Il faut tout de même noter le fait que Interpol intervient souvent suite à des arnaques effectuées par le biais de quelques produits du web3 et l’Union Européenne a dernièrement signé des conventions pour protéger les utilisateurs de cryptomonnaies. Pour le moment, le défi est de taille puisque ce qui est attrayant par rapport au web3, c’est cette manière détachée de la réalité. Malheureusement, avec tous les dangers repérés et rapportés aux Fédéraux, il est important que les choses soient réglementées.

metaverse démocratisé

La liberté est menacée

Partout dans le monde, le web3 se développer à une très grande vitesse. Certes, tout indique que le web3 changera le monde, mais les fédéraux restent tout de même perplexes à ce propos. En effet, les dangers sont réels et sans conventions communes mondiales, les choses pourraient échapper au contrôle des gouvernements. Autant vous dire que la liberté promise dans le web3 est actuellement menacée ; mais est-elle menacée pour le bien général ?

Aux États-Unis, on sait que le FBI est déjà très investi dans le web3, ce qui est admirable et effrayant en même temps. Admirable puisque les utilisateurs de métaverses, de cryptomonnaies et de NFTs se sentent protégés. En revanche, c’est effrayant dans le sens où la nature décentralisée du web3 est tout de même menacée. Quoi qu’il en soit, il faudra attendre quelque temps avant de voir des mesures internationales voir leur jour et si l’on souhaite vaquer dans le métaverse, il faudra prendre ses propres mesures.