Chose importante, ne pas confondre Ultrawings, le 2 en l’occurrence avec Super Wings. L’un est un jeu vidéo, l’autre est un dessin animé pour enfants. Mais les deux ont en commun l’amour de l’aviation. Sauf qu’avec Ultrawings 2, on est aux manettes de plusieurs appareils, on ne fait pas que les regarder à la télé. Le jeu se compose de centaines de missions qu’il faut réussir. Bien sûr, le joueur commence petit, avec un appareil et quelques missions. En les réussissant, la suite du jeu se déloque et au fil des heures on parvient à débloquer toute la flotte ainsi que tous les aérodromes. On a alors des centaines de missions disponibles, chaque fois différente et chacune avec son propre challenge !
Avis & Test d’Ultrawings 2 disponible sur Oculus Quest 2
Ultrawings 2 met 4 avions et un hélicoptère à disposition du joueur. Mais, parce qu’il y a un mais… On ne commence qu’avec un seul appareil. Il faudra se frayer un chemin à travers les différents challenges pour acquérir les autres. Au-delà de ça, le jeu propose également 4 îles, qui sont autant de mondes différents. On y fait donc face à d’autres terrains et défis, puisque chaque île possède 2 aérodromes à acheter.
Les appareils sont visuellement différents et au niveau du pilotage. Ce n’est pas qu’un lifting visuel. L’approche est à chaque fois différente et il faudra un petit temps d’adaptation pour se faire à la réponse des commandes et au ressenti de l’appareil. Comme dans la réalité, qu’on soit dans un jet ou dans un avion à hélices, les sensations sont différentes. En pratique, il faudra réapprendre à chaque fois comment donner des gaz, gérer l’assiette ou encore la sortie du train d’atterrissage. Le tout se vit avec un réalisme saisissant grâce à l’Oculus Quest 2.
Du côté des missions, il y a en à pour tous les goûts. Les développeurs ont repris la plupart des missions disponibles dans Ultrawings en rajoutant du nouveau contenu. Ça fait beaucoup.
Parmi les missions, on retrouve celles qui consistent à passer un parcours d’anneaux pour évaluer l’adresse, par exemple. On a également des missions avec du tir de précision (dans le bull’s eye de la cible), des atterrissages en zone, des combats avec des drones / chars / etc. Si on joue plusieurs heures, la diversité viendra de la panoplie d’avions. Car sinon, on fait rapidement le tour et le jeu s’apparente à du grinding pour débloquer une nouvelle zone ou un nouvel aérodrome.
En fin de mission, la performance est évaluée avec une médaille d’or, d’argent ou de bronze et une prime. Evidemment, l’objectif est de faire du Gold-only…
En bref, Ultrawings 2 est un très bon jeu, qui permet de passer du bon temps. Mais qui marque ses limites graphiquement si on commence à le comparer à des titres AAA comme Flight Simulator. Mais également au niveau du contenu qui finit par être du grinding…
Ce qu’on aime :
- Pas mal de contenus
- Des sensations différentes avec chaque appareil
- Une durée de vie assez longue…
Ce qu’on aime moins :
- … mais qui sent fort le grinding
- Un graphisme qui marque le pas
- Du contenu déjà vu
Quelques astuces pour être meilleur sur Ultrawings 2
Pour devenir meilleur sur Ultrawings 2, il n’y a pas de secret : s’entraîner.
Comme on l’a dit, les appareils sont tous différents. Forcément, on sera plus à l’aise avec tel ou tel appareil plutôt qu’un autre. Pour pouvoir avancer rapidement dans le jeu et empocher un max de primes, le plus intelligent est de terminer toutes les missions avec l’appareil avec lequel on est le plus à l’aise. A priori, c’est là qu’on finira le plus souvent avec une médaille d’or et la plus grosse prime. Ainsi, on peut avancer dans le jeu facilement.
La même chose est vraie avec les types de missions. Si on est plus à l’aise avec le vol acrobatique qu’avec l’atterrissage, le bon plan est de commencer par ce type de missions.
Enfin, les missions ont des niveaux de difficulté. Certaines seront juste des formalités, alors pourquoi ne pas les pointer directement afin de débloquer plus vite le contenu ?