The climb 2 test

The climb 2 : Test du jeu sur Oculus Quest 2, avis et astuces

Contrairement au premier titre de la série, The Climb 2 est une exclusivité pour Oculus Quest 2. Mais qu’à cela ne tienne, le titre n’en est pas moins jouissif. Il permettra, à qui le veut, de faire un peu d’alpinisme sans sortir de sa chambre. Et oui, c’est bien ça le concept, comme son nom l’indique, ce jeu vidéo nous emmène tout droit en montagne pour escalader les sommets avant une pause bien méritée.

Avis & Test de The Climb 2 disponible sur Oculus Quest 2

Pas question pour les développeurs de nous lâcher en pleine montagne sans nous avoir montrer un petit aperçu. Il faut dire que 5 ans, c’est long. Et on a tous eu le temps d’oublier comment fonctionne le jeu, d’autant plus qu’ici, c’est sur OQ2… Ainsi donc, il existe un petit didacticiel sympatoche qui nous fait faire le tour du propriétaire et nous montre les mécaniques du jeu.

The Climb 2 ne se résume pas à enchaîner les grimpettes. Pour parvenir au sommet, il faudra le mériter et ménager son endurance, sinon gare à la chute

Oui, car il y en a quelques-unes et permettent donc au titre de s’affranchir des préjugés qu’on avait à son égard. Non ! Ce n’est pas qu’un simple jeu d’escalade, où il faut attraper les prises les unes après les autres sans réfléchir plus loin que le bout de son nez !

Chaque main, dans le jeu, dispose de sa propre endurance. Comme dans la vraie vie, elles peuvent fatiguer. Et quand elles sont fatiguées, on ne sait plus les utiliser. Tout le challenge de The Climb 2, c’est de bien gérer cette endurance pour ne pas tomber à court.

Mais comme dans la réalité, on peut reposer ses mains. Soit en agrippant une prise à deux mains, soit en utilisant de la magnésie. Grâce à cela, on peut remonter son endurance ou en limiter sa perte.

Et, comme dans la réalité, chaque prise est différente. Certaines imposent plus de stress aux mains, d’autres moins et cela a une influence directe sur l’utilisation de l’endurance.

Certaines prises vont couper, ce qui engendrera une perte brutale de l’endurance en plus de faire peur. D’autres seront fragiles. En les agrippant, elles s’effritent et disparaisse au bout de quelques secondes. Impossible de rester dans la position sans bouger. Enfin, d’autres seront obstruées et il faudra les dépoussiérer ou enlever ce qui se trouve dessus pour pouvoir les utiliser.

Les fans d’escalade se retrouveront donc un peu comme à la maison, la sensation du vent en moins (sauf si on ouvre la fenêtre).

Mais The Climb 2 n’oublie pas de rester un jeu vidéo avant tout. Ainsi, on peut utiliser des tyroliennes, des échelles à certains endroits des niveaux. On peut escalader des parois et des falaises, mais également des buildings en ville, ce qui n’est pas vraiment permis dans la réalité. Au total, 15 maps dans 5 univers sont à explorer.

On regrettera tout de même que Crytek n’ait pas investi plus massivement dans le graphisme. Parfois, il est un peu à la ramasse et cela enlève de son charme au jeu. Idem au niveau des levels. Pour ceux qui ont déjà joué à The Climb, il y a comme un air de déjà-vu. Pas assez de nouveautés et cela s’avère un poil décevant.

Ce qu’on aime :

  • Un bon niveau de design
  • Du choix dans les cartes
  • La chute est moins fatale que dans la réalité

Ce qu’on aime moins :

  • Pas de réelle nouveauté par rapport au 1
  • Des graphismes améliorables
Si l’expérience de l’escalade est au rendez-vous, Crytek n’offre pas réellement de contenu époustouflant. Celui-ci ayant déjà vécu dans le 1er opus, et surtout, on retrouve ici des graphismes parfois approximatifs

Quelques astuces pour devenir meilleur sur The Climb 2

Une grosse partie du jeu repose sur la gestion (oui, encore du management) de l’endurance. Elle n’est pas infinie et bien vite, on se rend compte qu’il faut judicieusement la gérer. En découvrant un niveau, il est probable qu’on ait du mal à gérer le premier passage. Il faudra deux, trois ou davantage de passages pour optimise la gestion et fluidifier ses mouvements dans The Climb 2.

Heureusement, Crytek a pensé à tout, car chaque montée obtient un score. Son amélioration offre un intérêt à la rejouabilité.